l'incursion armée en Géorgie, en août 2008, constituait «un acte jours avant le début du conflit russo-géorgien d'août 2008, a déclaré Moscou d'un côté, Washington, Paris et Londres de l'autre, s'opposent toujours sur la conformité du retrait russe avec le plan de paix[105]. AVOIR PLANIFIÉ L'armée russe affirme avoir mis la main sur plus de cent blindés géorgiens, dont 65 chars et cinq véhicules armés de missiles sol-air, dans la « zone de conflit entre la Géorgie et l'Ossétie du Sud ». L'Abkhazie, autre province séparatiste, entre à son tour en guerre contre la Géorgie, cherchant à reprendre le contrôle des gorges de Kodori, seul territoire abkhaze resté sous administration de Tbilissi, et détruisant la seule route qui relie la province à la capitale géorgienne. Toutefois, le président Saakachvili affiche sa satisfaction, façon de montrer sa reconnaissance envers ses alliés européens : « Le rapport a dit plus que je ne l’attendais, il s’agit d’une grande victoire diplomatique pour la Géorgie. Dans l'après-midi, une rumeur fait état d'une colonne de chars russes faisant route vers la capitale de la Géorgie, Tbilissi, en dépit du cessez-le-feu conclu sous l'égide de Sarkozy et de la présence d'unités de l'armée russe à Gori. En gros, je laisserai les éditeurs publier leur jeu, après... mais ce sera certainement un gros bide. Si ce n’est pas la première fois qu’une organisation internationale, présente sur les lieux de scènes de guerre, détourne les yeux pour ensuite tancer les perpétrateurs (Rwanda, Irak, etc.). Leurs blindés menacent Koutaïssi la deuxième plus grande ville de Géorgie. Cependant, leur avance est stoppée le soir par l'arrivée des premiers renforts russes[52]. La Géorgie a accueilli quelques soldats américains en 2002 dans le cadre de la « guerre contre le terrorisme », et à l'époque, Poutine avait déclaré qu'il n'y voyait « aucune tragédie ». Dans la section Monde. Lieutenant-colonel (e.r) Renaud Francois, chercheur associé à l’ESIS, Jacques Sapir, « La guerre d'Ossétie du Sud de 2008 » (quatre parties : «, Chronologie du conflit par l'hebdomadaire. Dans son éditorial du 27 août, Le Monde écrit, entre autres, « Aujourd'hui, le gaz et le pétrole nourrissent un nationalisme russe revanchard, qui n'a qu'un objet : refaire l'empire défait[174]. Il y à eu une guerre ? Métiers 360, la découverte des métiers en réalité virtuelle - La journaliste écrit que « le vrai problème est que la détermination de la Russie peut attiser de nombreux conflits larvés dans son propre espace caucasien[176] ». Marie Jégo, correspondante à Moscou du quotidien Le Monde, propose une analyse avançant qu'il s'agissait pour Moscou de reconquérir une région importante à trois titres : énergétique, politique et géostratégique. Sophie TOURNON Publié le 15/10/2009 07/12/2018 Géopolitique La commission internationale indépendante, dirigée par la diplomate suisse Heidi Tagliavini, et financée par l’Union européenne, a rendu public son rapport concluant l’enquête sur les causes du conflit d’août 2008 en Ossétie du Sud. La brigade d'artillerie et le bataillon de chars sont placés à Gori pour fournir le soutien nécessaire à l'infanterie[31]. Carte des opérations militaires de la guerre dans l'interprétation des médias géorgiens. Europe Un an après le conflit russo-géorgien - Moscou accuse les États-Unis d'armer la Géorgie . Mais ils ne s'établirent pas dans cette région sous une entité unifiée stable et durable, alors que le royaume géorgien d'Ibérie qui était au-delà de la passe de Darial, de l'autre côté du Caucase, entrait très souvent en guerre contre eux (ou bien s'alliait avec cette tribu contre l'Arménie, la Perse ou l'Empire romain). Le conflit russo-géorgien d’août 2008: à qui la faute? Nous découvrirons ensemble toutes les fonctionnalités du blog et verrons comment l’utiliser au mieux. Chacune s’arc-boute sur «sa» version et n’en démordra plus. À la suite de l'instauration du pouvoir soviétique dans la région, l'oblast autonome d'Ossétie du Sud au sein de la République socialiste soviétique de Géorgie fut proclamée le 20 avril 1922 et jusqu'aux années 1990, les relations entre les deux entités furent tout à fait pacifiques, malgré les prétentions des Ossètes sur l'enclave ethnique de Trialétie, en Géorgie centrale. Medvedev en Ossétie du Sud pour les quatre ans de la guerre Vous devez être connecté pour poster un commentaire. ceux qui rétablissaient la paix, ni par ceux qui ont été contraints à Condoliezza Rice. Le 24 juin 2010, Irakli Porchkhidze, le secrétaire général adjoint du Conseil national de sécurité de Géorgie, déclare que la Russie ne respecte pas ses engagements. Mais alors pourquoi les Russes ne feraient ils pas un jeu de stratégie sur la Deuxième Guerre Mondiale?? Mais cette fois, il ne s’agit pas simplement d’un conflit politique et/ou ethnique. Enfin, vers 17 h, les troupes géorgiennes encore en état de combattre devant Gori s'enfuient en désordre et abandonnent le reste de leur matériel[72]. Précédent. Si les Occidentaux veulent conserver de bonnes relations avec la Russie, ils comprendront les raisons de notre décision, « redessiner la carte de l'Europe par la force, « il sera difficile de nous informer mutuellement de nos points de vue, « si les États européens veulent servir les intérêts de politique étrangère des, « le pétrole, le gaz, la pétrochimie, le bois, divers métaux, les engrais chimiques (…) », « nous tiendrons tous les engagements prévus par le plan Medvedev-Sarkozy, dans la forme où ils ont été approuvés, et non pas selon l'interprétation qu'en fait Saakachvili, qui a déclenché cette guerre, « tant que le retrait des troupes [russes déployées en Géorgie] n'aura pas été respecté », « il faut donner sa chance à la diplomatie le 8 septembre. Le conflit russo-géorgien en jeu vidéo du 15/12/2008. menu, Pour voir la  Lors d'une de ces rencontres inattendues, le commandant de la 58e Armée russe, le général Khroulev, est blessé[139]. » Alors, rapport informatif mais vain ? Les combats du jour voient la désintégration de l'armée géorgienne. Les hackers russes mènent une attaque informatique sur les principaux serveurs géorgiens[47],[48]. Il causa dans son ensemble la mort d'environ 5 000 personnes. de rien, le chef d'Etat russe l'affirmait mercredi à la télévision : le retour des troupes géorgiennes dans leur lieu de cantonnement habituel ; le retrait des troupes russes sur les lignes antérieures au déclenchement des hostilités ; dans l'attente d'un mécanisme international, les forces de paix russes mettront en œuvre des mesures additionnelles de sécurité ; le lancement de discussions internationales sur le statut de l'Ossétie du Sud et de l'Abkhazie et leur sécurité. À la suite du décret présidentiel russe reconnaissant l'indépendance de l'Ossétie du Sud et de l'Abkhazie, et à l'article publié la veille par le président russe, Dmitri Medvedev, le président géorgien fait paraître une tribune dans le Financial Times, où il dénonce la tentative russe de « redessiner la carte de l'Europe par la force[116] ». Exhaustif, riche de plus de 900 pages dont les deux tiers d’annexes, ce rapport très attendu en Géorgie et en Russie a été rendu public le 30 septembre 2009. Le conflit est en fait « gelé » et il n'est pas ... Les autorités russes ont étudié des mesures de riposte plusieurs assuré à la télévision russe mercredi que la guerre de Géorgie avait Cet accord semble cependant préserver les chances d'un règlement politique du conflit en conservant une série de villages géorgiens au cœur de l'Ossétie du Sud[15]. ses ordres. À 23 h 56, le ministère géorgien annonce que l'assaut a commencé[38]. Alors que Dmitri Medvedev est mis en cause par des militaires dans La Géorgie dénonce une « annexion[112] ». Article paru dans Le Monde du Vendredi 15 août 2008 : Washington reconsidère ses relations avec Moscou. Les Russes disposent en outre de très peu d'équipements de reconnaissance, drones ou satellites, ce qui les mène à tomber dans des embuscades géorgiennes ou à rencontrer par hasard des détachements géorgiens. Le vice-ministre géorgien de la Défense, Batou Koutelia, reconnaît dans un entretien, publié vendredi par le quotidien londonien Financial Times, que son pays ne s'attendait pas à la réplique militaire de la Russie[104]. Selon lui : « Les organisations européennes doivent tirer les conséquences [de ce rapport], car leur immobilisme a permis une telle agression [géorgienne]. Je le vérifierai pour correction. Un premier échange de prisonniers, 15 Géorgiens contre 5 Russes, a lieu à une quarantaine de kilomètres de Tbilissi sous la médiation de l'ambassadeur de France[97]. Elle est transportée via un pont aérien américain mais trop tard pour participer aux combats[32]. Les Ossètes arrivèrent dans le Caucase sous le nom d'Alains dans l'Antiquité. russo-géorgienne. Moscou et l'OTAN se menacent de « conséquences ». De son côté, le président de l’Ossétie du Sud, Edouard Kokoyty, va plus loin encore. Choisir sur la page d’accueil un journal au choix dans « liens » à droite de l’écran ( j’ai choisi Le Monde). Les Russes justifient leur présence pour sécuriser la ville mais des journalistes et des employés de l’ONU ont été menacés. Précédent. république séparatiste géorgienne pro-russe. La propagande de guerre continue. début du conflit russo-géorgien dans cette république dont Moscou a En effet, depuis le début de l’année 2009, Tbilissi a fait peser des soupçons sur la probité de certains membres, dont un expert allemand jugé « pro-russe » et accusé de collusion avec Gazprom. Une partie de la [1] Les Sud-ossètes comme les Abkhazes ont pour beaucoup été naturalisés russes, bénéficiant d’une stratégie de passeportisation les plaçant sous la protection de la Fédération de Russie. Laissons la conclusion au journal russe indépendant Novaya gazeta (12 octobre 2009), dont la journaliste Youlia Latynina ose affirmer : « Le rapport de madame Tagliavini signifie qu’on peut mettre un point aux prétentions de l’Europe à être un arbitre international. George Bush annonce une aide humanitaire d'un milliard de dollars pour la Géorgie[130]. Les échanges de tirs survenus dans la nuit du 1er au 2 août 2008 à la frontière osséto-géorgienne auraient fait 6 morts et 15 blessés côté sud-ossète. Les parlements de l'Ossétie du Sud et de l'Abkhazie demandent officiellement à Moscou de reconnaître leur indépendance. Fin des combats à Tskhinvali avec l'arrivée de tous les renforts russes. De plus, le ministère russe des Affaires étrangères avait annoncé, le lundi 11 août 2008, environ 1 600 victimes civiles[9]. Le plan géorgien est d'envoyer la 4e brigade d'infanterie prendre Tskhinvali tandis que les 2e et 3e brigades sont chargés de la soutenir[31]. De cette union naquit par ailleurs un fils considéré comme illégitime, Démétrius, qui, après deux tentatives ratées de prendre le pouvoir en Géorgie, partit s'exiler en Ossétie, où il fonda une lignée royale, branche de la dynastie arméno-géorgienne des Bagratides. milice sud-osséte (environ 2 500 hommes avant la guerre). L'OTAN proteste officiellement auprès de la Russie[106]. Le président de l'Association nationale russe des travailleurs de la télévision, Edouard Sagalaïev, déclare le lundi 11 août à l'agence de presse russe RIA Novosti être choqué par la manière dont les médias occidentaux couvraient les événements dans la zone du conflit osséto-géorgien, les accusant de propagande[170]. 2012 Enfin voila je sais que de toute façon personne ne lira se message, car moi non plus je lis pas les messages des autres ^^. moi ce qui me choque c'est que c'est un conflit qui vient juste d'avoir lieu et qui continue plus ou moins,alors que les ricains prennent rarement la pseudo guerre en Irak comme support. Elle souligne que la Géorgie, traversée par plusieurs oléoducs et gazoducs (dont l'oléoduc Bakou-Tbilissi-Ceyhan) est devenue le point de passage obligé des hydrocarbures en provenance de la mer Caspienne et à destination de l'Europe. guerre russo-géorgienne. Il ne parvint qu'à avoir le diplomate américain Dan Fried qui lui assura que les Américains cherchaient à reprendre le contrôle de la situation[38]. Rapport des parlementaires belges Josy Dubie et Christine Defraigne (25 septembre 2008). Le 20 décembre 1990, le nouveau parlement proclama l'élévation de l'Ossétie du Sud au niveau de République socialiste soviétique, statut toutefois non reconnu par Moscou et qui mena à la suppression courte de l'autonomie de l'oblast par Tbilissi. Bien qu'elle débouche sur une victoire russe, la guerre met en exergue une série de défauts organisationnels et de retards technologiques au sein de l'armée russe. En fin de journée, la Géorgie accuse la Russie d'envahir son territoire[67],[68]. Sur le front abkhaze, la base militaire de Senaki est prise presque sans combats par les parachutistes russes. ... Char lourd T-72 SIM de l'armée géorgienne : malgré leurs capacités On compterait 158 600 personnes déplacées : 30 000 personnes ont fui l'Ossétie du Sud vers l'Ossétie du Nord en Russie[134], plus de 12 000 autres se sont déplacées à l'intérieur même de la région autonome ossète, environ 15 000 ont fui les combats vers le sud, en Géorgie, tandis qu'environ 68 000 personnes se sont déplacées en Géorgie même, dont 56 000 habitants de Gori, la plus grande ville géorgienne proche de l'Ossétie du Sud, qui ont quitté la ville[135],[136]. La guerre militaire se poursuit sous la forme d’une guerre de propagandes. ÉHONTÉE DES AGENCES DE PRESSE DE LA C’est probablement le bilan le plus important, réaliste mais pas fataliste, à tirer de ce document et de toute cette « histoire ». violée lors de la récente visite de Medvedev à ... Guerre russo-géorgienne : nouvelles tensions entre Moscou et Le vice-président des États-Unis déclare que, Le Premier ministre russe, Vladimir Poutine, déclare lundi à Moscou que les États-Unis font obstacle à l'opération de maintien de la paix en Ossétie du Sud, en transférant par voie aérienne le. Dmitri Sanakoïev (en) devint ainsi président des territoires ossètes sous administration géorgienne[15]. Moscou annonce que ses troupes se replient, mais d'après le ministère géorgien de l'Intérieur « aucun char, aucun soldat russe n'a quitté la Géorgie », et d'après une dépêche de l'AFP, les militaires russes fortifient leurs positions à l'aide de blocs en béton sur les points de contrôle autour de la ville de Gori[98]. Doc-Plus, Partage de documents avec vos élèves, L’Europe fait marche arrière sur les agrocarburants, En première ligne face au paludisme, la Guyane enregistre des progrès fragiles contre la maladie, Métiers 360, la découverte des métiers en réalité virtuelle, Doc-Plus, Partage de documents avec vos élèves. mécontentement exprimé par la Géorgie suite à sa récente visite en Dans l’ensemble satisfaites, elles déplorent immédiatement les omissions et les contre-vérités. M. Medvedev rencontrera ... Moscou savait que Tbilissi s'apprêtait à attaquer l'Ossétie du Sud d'agression prémédité contre une nation souveraine» et que l'attaque des Des incidents frontaliers entre les forces géorgiennes et sud-ossètes eurent lieu régulièrement pendant les années 1990, jusqu'à la révolution des Roses (novembre 2003), qui mit Mikheil Saakachvili, un pro-européen, à la tête de la Géorgie. Jacques Sapir, « Crise Osséto-Géorgienne : Qui a piégé qui ? Cette prudence peut être interprétée comme une crainte qu'ainsi qu'en Géorgie, il y ait un accroissement de l'interventionnisme de la Russie sur leur territoire. Victoire de l'Ossétie du Sud et de l'Abkhazie, avec le soutien de la Russie. Pouvait-il en être autrement, dans le jeu des alliances qui se dessinent autour du rapprochement avec la Russie et de l’agrandissement de l’OTAN ? Se fondant sur le fait que la grande majorité des Ossètes du Sud ont un passeport russe, le président russe, Dmitri Medvedev, ordonne à ses troupes d'intervenir afin de protéger la population de l'Ossétie du Sud et de contraindre la Géorgie à la paix[10]. La marine géorgienne tente de s'opposer au mouvement en lançant un petit groupe de quatre navires à la rencontre de la flotte russe. Au cours du XIXe siècle, les nationalismes ossètes et géorgiens se développèrent. Le parlement géorgien lève la loi martiale en Géorgie et décrète l'état d'urgence dans les zones occupées par l'armée russe[129]. La mission d'observation des Nations unies en Géorgie a été priée par l'Abkhazie de retirer ses observateurs de la vallée de Kodori[55]. Un meeting est organisé à Tskhinvali par le président actuel de l'Ossétie du Sud, Edouard Kokoïty. seulement après cette guerre, selon le Centre ... 9 août 2012. L'attaque aurait également fait des victimes parmi les civils[56], ce que la Russie dément[57]. Le blindage russe se révèle aussi être un problème, puisque nombre de véhicules blindés ne peuvent pas résister aux roquettes anti-chars, aux mines ou aux munitions anti-char de petits calibres[138]. Le conflit Russo-Georgien Suivre cet auteur Christophe Chiclet Dans Confluences Méditerranée 2008/4 (N°67) , pages 111 à 115 Depuis, l'armée géorgienne s'était équipée en matériel américain, israélien, tchèque, ukrainien et turc et a fait entraîner ses militaires professionnels (37 000 hommes) par l'armée américaine et des conseillers américains, israéliens, français, polonais, ukrainiens et néerlandais[26],[27] et pourrait être informée en continu des concentrations de troupes russes dans le Nord du Caucase par les renseignements américains qui surveillent la région par satellite[23],[28]. L’Europe en a besoin pour comprendre ce qui s’est passé. Les puissances européennes s'inquiétèrent cependant davantage des dépenses militaires croissantes des trois pays caucasiens. L’actuelle guerre russo-géorgienne n’est que le dernier avatar d’un différend entre Tbilissi et Moscou qui remonte à l’époque tsariste. journalistes le président russe Vladimir Poutine. Poutine reconnaît avoir Le porte-parole du ministère de l'intérieur géorgien déclare : « En ce qui concerne le district de Gori, je peux confirmer que les forces russes ont accéléré le rythme de leur retrait. Le départ du pouvoir de l'ancienne génération des apparatchiks soviétiques et l'arrivée de dirigeants pro-occidentaux, demandant ouvertement l'adhésion à l'OTAN[18] et la réunification du pays[15], augmenta la tension d'un cran entre Tskhinvali et Tbilissi, de même qu'entre la Géorgie et la Russie. PC. Le président russe annonce que le retrait des troupes russes (conforme à l'accord de paix) sera achevé jeudi 21 ou vendredi 22 août[96]. T'facon Call Of Duty 7, ça sera sur quel thème vous pensez ^^. La Russie d'un côté et la Géorgie aidée par les États-Unis depuis 2002, de l'autre, se seraient préparées à une guerre éventuelle au sujet des deux régions séparatistes géorgiennes (Ossétie du Sud et Abkhazie), et il semble que tous les protagonistes s'attendaient depuis longtemps à l'émergence d'un nouvel affrontement armé ; la présence de troupes russes du génie, déployées au printemps en Abkhazie pour réparer la voie ferrée abkhaze (le tronçon d'Otchamtchira), serait un indice de préparatifs[23]. Rappelons qu’à l’issue de ces cinq jours de guerre éclair, l’Ossétie du Sud et l’Abkhazie, indépendantes de facto depuis plus de 10 ans déjà, ont été reconnues par la Russie, qui y a installé des bases militaires « préventives ». La cinquième brigade d'infanterie mécanisée (2 500 hommes) y est déployée. été préparée par un plan d'attaque dès 2006. Côté russe quatre jours avant l'agression géorgienne d'août 2008 et préparait une », « L'Ossétie du Sud prête à lancer une mobilisation générale », « Cessez-le-feu vite rompu entre Géorgie et Ossétie du Sud », http://www.spiegel.de/international/world/0,1518,574812-3,00.html, « Хроника войны в Южной Осетии: день первый », « Satellite Damage Assessment for Tskhinvali, South Ossetia, Georgia », « На Цхинвали движется колонна российских танков », « В Цхинвали вошли подразделения Воздушно-десантных войск », « Посол РФ в Грузии: в Цхинвали погибли как минимум две тысячи человек », « La Géorgie introduit une instance contre la Russie pour violations de la convention internationale sur l’élimination de toutes les formes de discrimination raciale », « Ossétie du Sud : Moscou lance une enquête judiciaire pour « génocide » », « À Poti, le port géorgien frappé par les bombardements de l'armée russe », « Грузия задержала трех сбитых российских пилотов », « Plus de 30 000 réfugiés ont quitté l'Ossétie du Sud (Moscou) », « La Géorgie prête à un cessez-le-feu : Londres presse la Russie d'accepter », « Le représentant de la Géorgie appelle le Conseil de sécurité à intervenir sur les fronts diplomatique et humanitaire pour protéger son pays des attaques militaires russes », « URGENT Bombardements de Gori : les soldats de la paix russes démentent », « Georgia offers ceasefire as fighting continues », « Combat naval russo-géorgien au large de l'Abkhazie », « Raids russes en Ossétie du Sud, la Géorgie appelle au cessez-le-feu », « Генштаб России признал потерю еще двух самолетов », « La Russie continue les bombardements, les États-Unis haussent le ton », « Le conflit en Géorgie, jour après jour. « La décision d'utiliser les Vladimir Poutine affirme que la Russie va réagir avec « calme, sans aucune hystérie » au renforcement de la présence navale de l'OTAN en mer Noire[128]. Les forces géorgiennes présentes dans la ville, durement éprouvées, s'enfuient précipitamment en abandonnant armes et munitions[40]. Le matin, les troupes qui défendaient la vallée de Kodori, coupée de leur base de Senaki depuis la veille, sont rapidement et facilement submergés par les Russes et les Abkhazes[72]. Vers la fin du IVe siècle, une partie des Alains migrèrent en dehors de la région puis participèrent aux grandes invasions (vers 375). Gori, port de Pori, Koutaïssi ( 2ème plus grande ville de Géorgie), Abkazie, Ossétie du Sud ; Quand ? Les forces russes neutralisent le matériel militaire géorgien sur plusieurs sites et bases militaires. La diplomatie l’a emporté sur l’enquête. Elle reste déployée entre Gori et Tbilissi[88]. Géorgie avait été préméditée et préparée par l'état-major, sous conflit osséto-géorgien n'est toujours pas résolu : la république n'a Ah bon, je croyais que maintenant pour faire la guerre on était obligé de camper 2-3 années chez l'ennemi pour que tout le monde voie bien ta puissance ( même si ça prouve le contraire ^^ ). À la suite de leur réunion, les chefs d'État et de gouvernement de l'UE décident de reporter les prochaines réunions prévues pour négocier un accord de partenariat renforcé avec la Russie « tant que le retrait des troupes [russes déployées en Géorgie] n'aura pas été respecté ». Cependant, dans l'après-midi, le gouvernement géorgien affirme que des bombardements continuent en Géorgie et annonce le retrait de son pays de la CEI[74]. L’ingérence russe relèverait donc du droit humanitaire. Pour Nino Bourdjanadze, du Mouvement démocratique-Géorgie unie, ce rapport vient confirmer ce qu’elle n’a eu de cesse de marteler, à savoir la nature « criminelle » du président qui n’aurait aucune légitimité à gouverner. Ceux demeurés en Ciscaucasie fondèrent au fil des siècles une nation dans les montagnes (correspondant à l'actuelle Ossétie du Nord) qui devint au XIe siècle la vassale du royaume de Géorgie nouvellement formé (1010). par Florence Mardirossian, 15 août 2008 D ans la nuit du 7 au 8 août, la Géorgie donnait l’assaut en Ossétie du Sud. Et il laisse entendre que la Russie pourrait cesser sa coopération sur le dossier du nucléaire iranien. Dans les grandes lignes, les rapporteurs établissent de manière toute diplomatique que c’est Géorgie qui a entamé le conflit en bombardant des points civils de la capitale sud-ossète Tskhinvali dans la nuit du 7 au 8 août 2009, mais que la responsabilité du conflit est en partie partagée par la Russie, dont l’attitude d’ingérence et la politique de provocation militaire continue est dénoncée. Le Premier ministre russe, Dmitri Medvedev, 3. Au 14 août 2008, selon des sources contradictoires, on compterait entre quelques centaines et 1 600 tués parmi les civils ossètes à la suite de l'invasion de l'armée géorgienne[132]. « On avait un plan, Le président géorgien, Saakachvili, s'opposant toujours à ce qu'une « part significative » de son pays reste occupée par la Russie[87]. Le Nicaragua reconnaît l'indépendance des républiques séparatistes d'Ossétie du Sud et d'Abkhazie[131]. News archive. Celui-ci ordonna à Grigori Karassine de contacter Mikheil Saakachvili. [4] Voir l'article de Youlia Latynina : "L’Abkhazie super puissance" (Regard sur l'Est). La Géorgie redouble alors ses efforts pour obtenir un cessez-le-feu. Dans la nuit du 8 au 9 août, l'aviation russe frappe la base navale et le port commercial de Poti[49]. Les dirigeants d'Abkhazie et d'Ossétie du Sud signent le plan de paix de six points élaboré par Sarkozy et Medvedev. La même opposition persiste entre les capitales occidentales et Moscou au sujet du retrait des troupes russes, notamment autour du port de Poti[107]. Où : Tbilissi ; Quand : vendredi 15 août 2008 ; Qui ? Parallèlement, une force d'interposition, sous mandat de l'ONU[16], composée de troupes géorgiennes, sud-ossètes et russes fut créée sous le nom Mission JPKF pour contrôler l'application du cessez-le-feu[15]. Des combats ont lieu les jours suivants le long de la frontière : des soldats sont tués, des villages pilonnés à l'arme lourde[23]. », « Conflits en Géorgie : les dirigeants séparatistes acceptent le plan de paix », « Les troupes russes s'enfoncent en Géorgie malgré le cessez-le-feu », « Géorgie : les évènements du 12 au 17 août », « Un pont ferroviaire stratégique a été détruit en Géorgie », « Azerbaïdjan-Pétrole : Export via la Géorgie gelé », « Pledging to Leave Georgia, Russia Instead Tightens Grip », « L'Europe et les États-Unis haussent le ton contre la Russie », « La Russie aurait déployé des missiles en Ossétie du Sud », « Les membres de l'OTAN se réunissent pour réaffirmer leur solidarité avec la Géorgie », « Moscou promet de retirer ses troupes d'ici vendredi », « La Russie et la Géorgie échangent des prisonniers de guerre », « La Russie tarde à se retirer de Géorgie, menaces réciproques Moscou-Otan », « Ossétie du Sud : la Géorgie renforce ses troupes (armée russe) », « Géorgie : quand les Ossètes s'imaginent indépendants », « Les Russes gèlent leur coopération militaire avec l'Otan », L'OTAN a « provoqué » le conflit dans le Caucase, « MM.